Ce que les médias occidentaux ne diront jamais...

Dès le lendemain des frappes israéliennes, tous les médias occidentaux ont repris la fable suvant laquelle l’agression israélienne était une réplique légitime aux lancements des roquettes du Hamas. La disproportion flagrante, en terme de moyens et d'actions, suffisait pourtant à susciter le doute... L' important était qu’ils s’acquittent de la tâche qui leur a été confiée dans cette guerre. Tâche sans laquelle l’opération israélienne risquait de perdre ses dividendes politiques. En effet, l’essentiel était de cacher le fait suivant : cette agression a été préméditée et préparée depuis six mois. Elle s'inscrit dans le cadre d’un agenda stratégique régional qui dépasse largement le conflit israélo-palestinien. Agenda qui a sans doute été précipité, tout à la fois, par la perspective de l' élection législative israélienne et la perspective de l’investiture du nouveau président américain.

Ce que les médias occidentaux ne diront jamais
: l’agression israélienne contre Gaza n’est que la continuation militaire de cette guerre qui ne dit pas son nom qui a commencé en juillet 2007 au sud Liban...

Ce que les médias occidentaux ne diront jamais : cette guerre qui a déjà fait plus de 300 morts et un millier de blessés a commencé non pas le jour où les F 16 se ont été lancés contre une ville, sans défense aérienne et qui est la plus dense au monde, mais bien le jour où Américains et Européens ont unanimement décidé de désigner une organisation, qui venait de bénéficier de la majorité des suffrages de sa population, de « terroriste » et de geler ses comptes bancaires!

La guerre médiatique occidentale a bien précédé la guerre, tout court, celle de l’aviation israélienne. L’isolement diplomatique de Gaza par les puissances occidentales, qui a précédé et accompagné l’embargo économique et social exécuté par Israël, a été facilité par la complicité des régimes arabes qui se sentaient politiquement menacés par la victoire électorale du Hamas. Cette complicité prend des formes variées. Le régime égyptien se charge d’enfermer la population de Gaza en faisant surveiller par son armée la seule porte d’entrée qui reste pour les habitants (Rafah).

La monarchie saoudienne contribue à financer la bureaucratie corrompue de l’autorité palestinienne dirigée par Mahmoud Abbas afin qu'elle puisse jouer son rôle de policier envers la résistance. Il faut savoir que sans la corruption de l’argent saoudien et européen, la pseudo-autorité palestinienne ne tiendrait pas un seul jour. Les bureaucrates et les politiques européens n’hésitent pas à justifier leur « aide » économique et humanitaire à la population de Gaza par leur volonté de diminuer l’influence du Hamas, et plus généralement des organisations islamistes, parmi la population palestinienne !

Au-delà des F 16 israéliens, le peuple palestinien de Gaza a affaire à une véritable conspiration criminelle internationale que les médias occidentaux cherchent à couvrir en se faisant les relais passifs de la propagande israélienne. Le peuple palestinien paie dans le sang et la douleur les frais de l’Après-11 septembre. Sinon comment expliquer l’aveuglement généralisé dont font preuve ces médias qui ne ratent pourtant aucune occasion de se lamenter sur les atteintes aux droits humains sous d’autres cieux ?

Mais ce que les médias occidentaux ne diront jamais : le Hamas palestinien est un mouvement de libération nationale dont les noyaux fondateurs appartiennent à une mouvance idéologique, les Frères Musulmans, qui, tout en soutenant la résistance armée légitime contre l’occupation étrangère en Palestine, en Afghanistan et en Irak, s’est démarquée depuis longtemps de la violence politique dans les pays arabes et musulmans comme moyen d’accès au pouvoir et ce, malgré la répression systématique des régimes autoritaires en place. Cette mouvance condamne périodiquement les attentats terroristes qui ciblent aveuglément les civils dans le monde et qui sont généralement revendiqués par des groupuscules dits « salafistes » sans aucun rapport avec les Frères Musulmans.

Ce que les médias occidentaux ne diront jamais : l’agression israélienne censée contribuer à la « croisade » universelle contre le « terrorisme islamique », si elle réussissait à briser militairement et politiquement le Hamas à Gaza, risquerait de détruire le seul véritable rempart contre le « salafisme » armé. Ce n’est pas le pouvoir corrompu du Fatah de Mahmoud Abbas qui pourra endiguer la déferlante « salafiste » qui risque de trouver dans la tragédie de Gaza et la défaite du Hamas de quoi nourrir son discours apocalyptique et revanchard ! A moins que ce ne soit le but inavoué des stratèges de Washington et de Tel Aviv qui trouveraient ainsi dans le « choc des civilisations » un nouveau souffle dans cette période de morosité économique…

Mohamed Tahar Bensaada

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Les raisons pour lesquelles il est impossible de faire la paix avec des sionionistes nazisraéliens:

"Les anciens dirigeants de notre mouvement nous ont laissé un message clair : donner à Eretz Israël la terre qui va de la mer au Jourdain, et ce pour les générations futures, pour une "Aliya" (immigration) massive et pour les Juifs, tous ceux qui seront rassemblés dans ce pays ." Déclaration de l’ancien Premier Ministre Yitzhak Shamir lors d’un mémorial à Tel Aviv pour les anciens responsables du Likud, Novembre 1990. Jerusalem Domestic Radio Service.


“Nous devons expulser les Arabes et prendre leur place ." David Ben Gurion, futur Premier Ministre d’Israel, 1937, Ben Gurion and the Palestine Arabs, Oxford University Press, 1985.


"Chassez la population pauvre au-delà de la frontière en lui refusant du travail.
Le processus d'expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection ." Theodore Herzl, fondateur de l’Organisation Sioniste Mondiale, en parlant des Arabes de Palestine,Complete Diaries, note du 12 Juin 1895.


"Nous devons tuer tous les Palestiniens, à moins qu'ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves ." Président Heilbrun du Comité pour la Ré-élection du Général Shlomo Lahat, le maire de Tel Aviv, Octobre 1983.

"Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gourion. Allon a répété sa question : "Que devons-nous faire avec la population palestinienne?"
Ben Gourion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : ‘Chassez-les’” Yitzhak Rabin, version censurée des Mémoires de Rabin, publiée dans le New York Times, 23 Octobre 1979.

"Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l'intimidation, la confiscation des terres et l'arrêt de tous les services sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population Arabe ."
Israel Koenig, "The Koenig Memorandum"

Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement du Plan Dalet. "Nous réduirons la population Arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs "Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires Arabes de Ben-Gurion, 1960. Tiré de "The Arabs in Israel" par Sabri Jiryas.

"La colonisation Sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone.
C'est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d'une puissance indépendante de la population locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale.
Ceci est notre politique à l'égard des Arabes..." Vladimir Jabotinsky, Le Mur de Fer, 1923.


"Une réconciliation volontaire avec les Arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d'empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE.
Le Sionisme est une aventure de colonisation et c'est pour cela qu'elle est dépendante d'une force armée. Il est important... de parler Hébreu, mais, malheureusesement, il est encore plus important d'être capable de tirer - ou bien je termine le jeu de la colonisation ."
Vladimir Jabotinsky, fondateur du Sionisme Révisioniste (précurseur du Likud), Le Mur de Fer, 1923.

"Il y en a qui croient que la population non-Juive, même dans un pourcentage élevé, à l'intérieur de nos frontières sera plus efficacement sous notre surveillance ; et il y en a qui croient le contraire, c.-à-d., qu'il est plus facile de surveiller les actions d'un voisin que celles d'un locataire. J'ai tendance à soutenir la dernière opinion et j'ai un argument complémentaire : … la nécessité de soutenir le caractère de l'Etat qui sera dorénavant Juif… avec une minorité non-Juive limitée à 15% .J'étais déjà arrivé à cette position fondamentale dès 1940 (et) c'est écrit dans mon journal ." Joseph Weitz, chef du Département Colonisation de l’Agence Juive. Tiré de Israel : un Etat Apartheid de Uri Davis, p.5.

"Des villages Juifs ont été construits à la place des villages Arabes. Vous ne connaissez même pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n'existent plus. Et non seulement les livres, mais les villages n'existent plus . Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jibta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle de Tel Shamam.
Il n'y a pas un seul endroit contruit dans ce pays qui n'a pas pas une ancienne population Arabe ." Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Haaretz, 4 Avril 1969.

En 1899, Davis Triestsch écrivait à Herzl :
"Je vous suggère d'en arriver au programme de la "Grande Palestine" avant qu'il ne soit trop tard.
Le "Programme de Bâle" doit contenir le mot "Grande Palestine" ou "Palestine et ses pays voisins" autrement cela n'a pas de sens.
Vous ne pouvez pas faire venir 10 millions de Juifs dans un pays de 25.000 km2".

"La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le Mandat britannique.
Le peuple Juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s'efforcer de mener à bien : celle du Nil à l'Euphrate ." Ben Gurion

"La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l'armée israélienne de poursuivre le combat avec l'objectif ultime qui est la création de l'Empire Israélien ." Moshe Dayan (Ministre israélien de la Défense et des Affaires Etrangères), le 12 février 1952. Radio "Israel."

"La seule solution est Eretz Israël (Grand Israël) ou au moins Eretz Israël Ouest (toutes les terres à l'ouest du Jourdain), sans les Arabes. Il n'y a pas de place pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule tribu ." Joseph Weitz, Directeur du Fond National Juif, l'agence Sioniste chargée d'acquérir les terres de Palestine, Circa 194. Machover Israca, 5 janvier 1973 p. 2

"Entre nous soit dit, il doit être clair qu'il n'y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n'atteindrons pas notre but si les Arabes sont dans ce petit pays.
Il n'y a pas d'autre possibilité que de transférer les Arabes d'ici vers les pays voisins - tous.
Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester ." Joseph Weitz, chef du Département Colonisation de l'Agence Juive en 1940. Tiré de "A Solution to the Refugee Problem"

"Nous devons tout faire pour nous assurer qu'ils (les Palestiniens) ne reviennent pas ." Et en rassurant ses copains Sionistes que les Palestiniens ne reviendraient jamais dans leurs maisons : "Les vieux mourront et les jeunes oublieront ." David Ben-Gurion, dans son journal, 18 Juillet 1948, cité dans le livre de Michael Bar Zohar : "Ben-Gourion : le Prophète Armé", Prentice-Hall, 1967, p. 157.

L'un des slogans les plus persistants et trompeurs du Sionisme a été inventé par Israel Zangwill, il y a près de 100 ans : La Palestine était "une terre sans peuple avec un peuple sans terre.”Après avoir visité la Palestine en 1891, l'essayiste Hébreu Achad Ha-Am a commenté :"A l'étranger, nous sommes habitués à croire qu'Israël est presque vide; que rien n'y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas et acheter les terres qu'il désire. En réalité, la situation n'est pas ainsi. Dans tout le pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit pas déjà cultivée ."

"Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n'y a personne à qui les rendre." Golda Meir, 8 Mars 1969.

"Il n'y a jamais rien eu de tel puisque les Palestiniens n'ont jamais existé." Golda Meir, Premier Ministre Israélien, 15 juin 1969

"...si les gens s'habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d'accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous serons confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu'ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu'il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre… sinon ." Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du Ministère des Affaires Etrangères israélien (ISA FM 2564/22). D'après Benny Morris, "La Naissance du Problème des Réfugiés Palestiniens 1947-49", p. 297

"C'est le devoir des leaders israéliens d'expliquer à l'opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu'il n'y a pas de Sionisme, de colonisation ou d'Etat Juif sans l'éviction des Arabes et l'expropriation de leurs terres." Yoram Bar Porath, Yediot Aahronot, 14 Juillet 1972

"Nous devons nous préparer à l'offensive. Notre but est d'écraser le Liban, la Transjordanie et la Syrie. Le point faible est le Liban, parce que le régime Musulman est artificiel et facile pour nous à déstabiliser. Nous devons y établir un Etat Chrétien, puis nous écraserons la Légion Arabe, nous éliminerons la Transjordanie et la Syrie tombera. Ensuite nous bombarderons et prendrons Port Saïd, Alexandrie et le Sinaï." David Ben-Gurion, Mai 1948, à l'Etat major général. Tiré de "Ben-Gurion, A Biography", par Michael Ben-Zohar, Delacorte, New York, 1978.

"Un Etat Chrétien devrait être établi (au Liban), avec sa frontière Sud sur le fleuve Litani. Nous ferons une alliance avec lui. Quand nous écraserons les forces de la Légion Arabe et que nous bombarderons Amman, nous éliminerons aussi la Transjordanie, et puis la Syrie tombera. Si l'Egypte ose toujours continuer à se battre, nous bombarderons Port Said, Alexandrie et Le Caire… Et de cette façon, nous mettrons fin à la guerre et nous règlerons les comptes de nos ancêtres avec l'Egypte, l'Assyrie et Aram "David Ben-Gurion, l’un des pères fondateurs d'Israel, décrivant les objectifs Sionistes en 1948

"Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine, lorsque l'attention du monde s'est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les Arabes des Territoires." Benyamin Netanyahu, alors Député israélien au Ministère des Affaires étrangères, ancien Premier ministre d'Israël, s'exprimant devant des étudiants à l'Université de Bar Ilan, Tiré du journal Israélien "Hotam", 24 novembre 1989

"Chacun doit bouger, courir et s'emparer d'autant de collines qu'il est possible pour agrandir les colonies, parce que tout ce que l'on prendra maintenant restera à nous… Tout ce que nous ne prendrons pas leur restera ." Ariel Sharon, Ministre israélien des Affaires étrangères, s'exprimant lors d'un meeting des militants du parti d‘Extrême-Droite Tsomet, Agence France Presse, 15 novembre 1998.

"A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ?
De la même façon, les Arabes de Palestine n'abandonneront pas leur souveraineté sans l'usage de la violence." Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes Sionistes), cité par Maxime Rodinson dans "Peuple Juif ou Problème Juif" (Jewish People or Jewish Problem).

"Si j'étais un leader Arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C'est normal, nous avons pris leur pays. C'est vrai que Dieu nous l'a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n'est pas le leur.
Il y a eu l'antisémitisme, les Nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ?
Ils ne voient qu'une seule chose : nous sommes venus et avons volé leur pays.
Pourquoi devraient-ils l'accepter ?" David Ben Gourion, le premier "Premier ministre israélien", cité par Nahum Goldmann dans Le Paradoxe Juif, p. 121.

"Les Palestiniens" seront écrasés comme des sauterelles… leurs têtes éclatées contre les rochers et les murs." Yitzhak Shamir,Premier ministre israélien, dans un discours aux colons Juifs, New York Times, 1er avril 1988.

"Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux Arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille." Raphael Eitan, Chef d'Etat-Marjor des Forces de la Défense Israélienne, New York Times, 14 Avril 1983.

"Si nous avions pensé qu'au lieu de 200 morts palestiniens, 2.000 morts auraient mis fin au combat, nous aurions utilisé beaucoup plus de force…."Premier Ministre Israélien, Ehud Barak, cité par Associated Press,
16 Novembre 2000.

"La thèse du danger d'un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu'Israël se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre." Général israélien, Matityahu Peled, Ha'aretz, 19 Mars 1972.

"Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont aucun droit de s'établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël… La force est l'unique chose qu'ils comprennent. Nous devons utiliser la force absolue jusqu'à ce que les Palestiniens viennent ramper devant nous." Rafael Eitan, Chef d'Etat-Marjor des Forces de la Défense Israélienne - Gad Becker, Yediot Ahronot ,13 Avril 1983, New York Times ,14 Avril 1983

"Il y a une énorme différence entre nous (Juifs) et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c'est comme si, à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n'appartenait pas à notre continent, à notre monde, mais qui appartenait véritablement à une autre galaxie." Président israélien, Moshe Katsav. Jerusalem Post, 10 Mai 2001.

"Les Palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent.“... Ehud Barak, alors Premier Ministre israélien, 28 août 2000. Repris dans le Jerusalem Post le 30 août 2000

"(Les Palestiniens) sont des bêtes qui marchent sur deux jambes." Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, "Begin and the Beasts". New Statesman, 25 juin 1982.

"Le sang Juif et le sang des "goys" (non-Juifs) ne sont pas les mêmes"Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n'est pas un crime si les victimes ne sont pas Juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989

"Si l'Assemblée Générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l'armistice (frontières d'avant juin 1967), "Israël refuserait de se plier à cette décision." Aba Eban, Ministre israélien des Affaires Etrangères. New York Times,
9 juin 1967.

"Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l'Amérique fera ceci ou fera cela… Je vais vous dire quelque chose de très clair : Ne vous préoccupez pas de la pression de l'Amérique sur Israël. Nous, les Juifs, contrôlons l'Amérique, et les Américains le savent." Le Premier Ministre israélien, Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Peres, cité sur la radio Kol Yisrael..

"Parmi les phénomènes politiques les plus inquiétants de notre temps, il y a l'émergence, dans l'état nouvellement créé d'Israël, d'un Parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des Nazis et des partis fascistes." (Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus Premiers Ministres). Albert Einstein, Hanna Arendt et d'autres Juifs Américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.

"Nous devrons affronter la réalité qu'Israel n'est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous, les Juifs, avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de réfugiés dans une Diaspora." Martin Buber, Philosophe Juif, s'adressant au Premier Ministre Ben Gurion sur le caractère moral de l'Etat d'Israel en faisant référence aux réfugiés Arabes en Mars 1949

"Quand nous (disciples du Judaïsme prophétique) sommes retournés en Palestine… la majorité des Juifs ont préféré apprendre d'Hitler plutôt que de nous." Martin Buber, au public de New York, Jewish Newsletter, 2 Juin 1958.

"Le pouvoir légal d'Hitler était basé sur le "Décret de Loi", qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Fuhrer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu'ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de Loi. Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le Parlement Israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouverneur israélien et à ses représentants le pouvoir d'Hitler, qu'ils utilisent d’une façon Hitlérienne." Dr. Israel Shahak, Président de la Ligue israélienne pour les Droits de l'Homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les Lois d'urgence de l'armée israélienne suite à la Guerre de 1967. Palestine, vol. 12, Decembre 1983.

"Si nous devions admettre des réclamations suite aux conquêtes de milliers d'années, le monde entier serait sens dessus dessous." Lord Sydenham, Hansard, Chambre des Lords,
21 Juin 1922.