Les Laurel et Hardy du sionisme bruxellois vous présentent....

Les Laurel et Hardy du sionisme bruxellois, j’ai nommé respectivement Joel Kotek et Viviane Teitelbaum (nous ne nous intéresserons pas ici aux sous-traitants et autres petites mains), renouvelant le genre burlesque dans la sphère politique, vous présentent leur numéro prestigieux : Le Propaganda-bidouille-staffel, dans lequel ils font plus fort que le « Palestinewood » de maître Goldnagel et de ses amis du CRIF, voyez vous mêmes :



Tandis qu’un jeune bruxellois plein de talent (et indigène de surcroît) leur donne une leçon magistrale de probité intellectuelle, goûtez moi ça :

Peut-on parler de tout?

1 commentaire:

Tsadik36 a dit…

Il faut surveiller de près ce que Sosnowski va inventer prochainement à propos de ce débat à l'ULB. En effet, il a une nette tendance à la mythomanie intéressée : dès qu'un événement sort un peu de la mémoire du public, il brode, il invente.

Exemple : quelques mois après la manifestation de janvier 2009 à Bruxelles contre le massacre de Gaza (alors en cours), Sosnowski a inventé que cette manif s'était déroulée aux cris de "mort aux juifs".

Curieusement, on ne trouve aucune trace de cela dans le communiqué indigné que le CCOJB avait à l'époque diffusé. Et pour cause : c'est de l'invention pure et simple.

Récidive : après une manif à l'occasion de l'Assemblée des actionnaires de DEXIA (qui finance la colonisation de la Palestine), en mai dernier, le CCOJB, et d'autres, ont prétendu que la prestation de clowns, recrutés par les organisateurs de le manifestation, avait un caractère antisémite. Ils prétendaient en trouver la preuve... dans des vitraux de la cathédrale St-Michel..

Il s'agissait cette fois, on le rappelle, d'une assemblée générale d'actionnaires, pas d'une manif contre le bombardement de populations civiles ou de quelque autre massacre commis par les Israéliens. Ce sont donc les actionnaires de DEXIA qui étaient visés par les caricatures de clowns.

Récemment, Sosnowski a déclaré dans "Le Soir" que les personnes en question (les clowns, donc) étaient "affublés en juifs au nez crochus et buveurs de sang d'enfants palestiniens".

On peut difficilement confondre un nez de clown, rouge et sphérique, avec un "nez crochu". Ce n'est pas une simple confusion, mais une manière de faire : Sosnowski attend que le souvenir s'estompe un peu, puis il y va carrément dans le mensonge et la diffamation.

Attendez-vous donc à ce que d'ici quelques mois il affirme qu'il y a eu, l'autre soir au "Janson" un véritable pogrome.